« Greenwashing functions as an ideology, in the sense of Marx: it is not so much a deliberate lie as a structural phenomenon of inversion of reality in the common consciousness. We can also say that it is part of what Guy Debord called the « spectacle »: a staging that, while expressing the dreams of a sleeping humanity, screens the real world and the dynamics that shape it, and ends up anaesthetizing minds in the face of a deleterious mode of organization, socially and humanly. »
Excerpt from: Greenwashing. Manuel pour dépolluer le débat public, collective work directed by Aurélien Berlan, Guillaume Carbou, Laure Teulières.Moins

« Le greenwashing fonctionne comme une idéologie, au sens de Marx : ce n’est pas tant un mensonge délibéré qu’un phénomène structurel d’inversion de la réalité dans la conscience commune. On peut aussi dire qu’il relève de ce que Guy Debord nommait le « spectacle » : une mise en scène qui, tout en exprimant les rêves d’une humanité endormie, fait écran sur le monde réel et les dynamiques qui le façonnent, et finit par anesthésier les esprits face à un mode d’organisation délétère, socialement et humainement. »
Extrait de : Greenwashing. Manuel pour dépolluer le débat public, ouvrage collectif dirigé par Aurélien Berlan, Guillaume Carbou, Laure Teulières.