
Chapitre 1
La question centrale.
Où l’on démontre que :
• Marx a nettement sous-estimé la destructivité du capitalisme.
• Marx a néanmoins correctement estimé l’aliénation.
• À la suite de Marx, les situationnistes ont correctement posé la question centrale.
• La question centrale n’est pas secondaire, quand bien même les questions secondaires sont devenues centrales.
Chapitre 2
La société du spectacle et ses ennemis.
Où l’on démontre que :
• Les situationnistes étaient modérément technophiles.
• La société est avant tout et en dernière instance spectaculaire, et seulement conséquemment techniciste et industrielle.
• Le « coup du monde » n’est rien de technique.
• Ellul aurait mieux fait de devenir situationniste (et ce n’est pas un détail).
Chapitre 3
L’économie n’existe pas.
Où l’on démontre que :
• La valeur, qu’elle soit d’usage, d’échange ou d’autre chose, est le monde moins le monde.
• L’économie est la diversion suprême.
• Lorsque le savoir séparé a tout séparé, l’or s’est couché sur le monde.
• Le travail, c’est capital (et ce n’est pas de la novlangue).
Chapitre 4
L’humanité n’existe toujours pas.
Où l’on démontre que :
• Chacun est tissé de tous les autres sous un motif jamais le même.
• Le temps est une invention des hommes incapables d’aimer.
• Au commencement est l’anarchie.
• La vie doit tout remplacer.
Annexe
• Les aventures du fétichisme.