
Faire l’inventaire de tous les mensonges directs ou indirects égrenés depuis le début de la pandémie ne sera pas nécessaire à notre propos. Nous laissons cela à l’Histoire, qui montrera comment, en un temps record, les « dirigeants » politiques, financiers, médiatiques de tous les pays se sont unis pour terrasser mondialement toute velléité de vérité.
Le faux sans réplique tourne en boucle sur tous les écrans, l’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître.
Les populations sont maintenant habituées à entendre un jour des affirmations péremptoires qui seront démenties le lendemain, pour être remplacées par d’autres du même genre. La raison en est, nous dit-on, que les temps changent ; en effet, les temps changent et changeront, et le ton autoritaire restera. Il doit donc, au milieu du brouillard, nous servir de repère. D’ailleurs tous les autres repères auront également en un temps record, tous été cryptés, ou détruits ou ridiculisés.
Et donc que nous dit-on ? Que la pandémie doit accaparer tous les esprits, qu’elle est La Menace qui exige de passer toutes les autres sous silence, ou au second plan ; qui exige donc que nous fassions confiance à ceux qui « dirigent », puisque la « science » les guide ; qui exige la réduction progressive des libertés extérieures, mais aussi de la liberté intérieure, désormais sans usage, puisque plus rien ne dépend de nous, mais que nous dépendons d’eux, de leurs experts, de leurs discours, de leur police.
L’avis des mots
On débat encore pour savoir si nous ne serions pas entrés en dictature, ce qui fait sourire les « dirigeants » et leurs journalistes, car nous dit-on, la dictature ce n’est pas ça.
Maintenant qu’ils ont monopolisé la réalité, pour en tester à grande échelle l’étendue des modifications possibles, il est clair que monopoliser le sens des mots n’est que la cerise sur le gâteau.
Pourtant si, nous sommes en dictature, mais là où les opposants se trompent, c’est que cela ne date pas de la pandémie. Tocqueville voyait déjà très bien, il y aura bientôt déjà deux siècles, que la tyrannie peut se faire douce, et la démocratie être la plus efficace des illusions.
La dictature du faux sans réplique a été définitivement théorisée dès 1967 par Guy Debord et elle n’a fait depuis que se renforcer, de sorte qu’en 1988, le même auteur notait que le mode spectaculaire en était victorieusement venu à s’intégrer « dans la réalité même à mesure qu’il en parlait ; et qu’il la reconstruisait comme il en parlait. »
Du bon usage des catastrophes
La nouveauté apparue avec la mise en spectacle de la pandémie, c’est que la « tyrannie douce » s’est durablement endurcie, à mesure que la réalité reconstruite s’effondre sous les assauts des catastrophes, elles bien réelles, qui affectent la réalité tout court.
Évidemment, les « dirigeants » s’y attendaient : « la domination est lucide au moins en ceci qu’elle attend de sa propre gestion, libre et sans entraves, un assez grand nombre de catastrophes de première grandeur pour très bientôt » (Debord).
Des banquises qui fondent, des forêts qui partent en fumée, des économies qui s’effondrent, des démocraties qui s’auto-dissolvent, des virus qui se découvrent de nouvelles identités, tout cela était prévisible, et donc prévu, et donc un tant soit peu anticipé par tous les « dirigeants » pour répondre à la seule question qui se pose réellement à eux : comment gardera-t-on le contrôle des populations, quand on perdra le contrôle de la situation ?
Les populations sidérées, hypnotisées, atomisées, commencent juste à voir apparaître les réponses, que nous allons à présent synthétiser.
La science a sens unique
Depuis La Boétie et plus récemment depuis l’expérience de Milgram, il est apparu qu’il fallait préciser les données de la soumission volontaire à l’autorité : les populations se soumettent certes parce qu’elles croient bêtement trouver leur intérêt dans les miettes qu’on leur tend du pain qu’on leur a volé, et aussi parce qu’on leur inculque très tôt les dangers de la désobéissance ; mais si tout cela perdure, c’est avant tout parce que cette autorité dispose d’un argument imparable : la science l’a dit !
Ce serait donc la « science » qui imposerait aux « dirigeants » les décisions à prendre, ce qui, au vu des contradictions, des retournements et des mensonges enfilés depuis le début de la pandémie devrait nous alerter sur la très relative fiabilité de la dite « science », mais c’est un détail.
Le fond de l’affaire – l’affaire la plus juteuse du siècle -, c’est que ce n’est pas la science qui dit aux politiques ce qu’il faut faire, mais l’inverse.
Telle recherche sera privée de crédit, ou passée sous silence, ou biaisée, ou autoritairement discréditée parce qu’elle ne rapporte pas, ou parce qu’elle émane de chercheurs indépendants, et qu’elle n’implique pas ou pas assez de contrôle des populations.
À l’inverse, telle modélisation catastrophiste, propice aux peurs, sera récompensée, reprise en boucle par les politiciens, diffusée jour et nuit par les journalistes vendus, tel remède sera vanté et imposé comme le seul, et rendu obligatoire, sous peine d’enfermement des populations, ou de ségrégation des récalcitrants, ou de perte de leurs revenus, et de ridiculisations sur la place publique, c’est-à-dire à la télévision, ou de répression, ou de dépressions.
Immuniser contre la vérité
Ce remède, c’est évidemment le vaccin pour tous, c’est-à-dire aussi pour ceux qui n’en ont pas besoin, c’est-à-dire l’immense majorité ; vaccin qui bénéficiera de tous les crédits nécessaires, de tous les arrangements « consensuels » de l’entre-soi des scientifiques qui tiennent à leurs crédits, à leurs postes, à leurs réputations, leurs intérêts, leurs privilèges ;sous la bénédiction d’une organisation mondiale de la santé lourdement dépendante de financements lourdement intéressés, et donc exclusivement et fanatiquement pro-vaccins ; il ne semble pas utile de citer des noms.
Une fois que l’on a écarté, discrédité, privé de moyens financiers, techniques, médiatiques, informationnels toutes les autres alternatives ;c’est chose on ne peut plus aisée que de demander aimablement aux journalistes vendus de diffuser sur tous les tons la voix de leur maître, en sélectionnant et en gonflant comme on leur a appris les chiffres qui la confirment, en écartant et en minimisant les autres, quand on n’a pas pu entièrement les passer sous silence, en s’en prenant moins aux arguments qu’aux personnes des réfractaires – chercheurs, médecins, philosophes, populations – qui refusent de se taire, etc.
À travers ce vaste dispositif de contrôle politique, médiatique et social, dont l’aspect sanitaire n’est que l’occasion qu’attendait le larron, la société du spectacle se prédispose à son ultime étape : l’effondrement ne pouvant être évité, il importe d’en spectaculariser les faits pour les rendre hypnotiques, de s’assurer ensuite du monopole et de l’unilatéralité de leur traitement technoscientifique ;d’opérer enfin la discrimination entre ceux qui auront le QR Code d’accès au « multivers » – la pseudo-réalité généralisée présentement en cours d’élaboration – et ceux qui devront tenter de survivre ; sous les ruines ; et sous les coups de matraque.
Il nous semble pour conclure qu’un modeste détail a été négligé par les orchestrateurs de cet avenir sans présent :nous laissons cependant à l’intelligence collective le soin de le trouver.
PS. Nous n’avons – volontairement – pas donné les références et les sources sur lesquelles s’appuie cette démonstration ;non qu’elles soient douteuses, tout au contraire, elles sont implacables et elles-mêmes précisément documentées. Mais, d’une part nous ne voulons pas mâcher aux lecteurs l’indispensable travail de recherche qui leur permettra d’outiller de façon libre et autonome leurs récusations du despotisme qui vient ; d’autre part nous décourageons ainsi le réflexe conditionné de l’argumentum ad personam.

Pandemic of lies.
It will not be necessary for our purposes to make an inventory of all the direct or indirect lies that have been told since the beginning of the pandemic. We will leave that to history, which will show how, in record time, the political, financial and media « leaders » of all countries have united to strike down any hint of truth.
The false without reply
The falsehood without reply turns in loop on all the screens, the attitude that it requires by principle is this passive acceptance that it has already obtained in fact by its way of appearance.
People are now used to hearing peremptory statements one day, which will be denied the next, to be replaced by others of the same kind. The reason, we are told, is that times are changing; indeed, times are changing and will change, and the authoritarian tone will remain. It must therefore, in the midst of the fog, serve as a landmark. Besides, all other landmarks will also have been encrypted, destroyed or ridiculed in record time.
And so what are we told? That the pandemic must monopolize all minds, that it is The Threat that requires all others to be ignored, or to take a back seat; that requires us to trust those who « lead », since « science » guides them; that requires the progressive reduction of external freedoms, but also of internal freedom, now without use, since nothing depends on us anymore, but we depend on them, their experts, their speeches, their police.
The opinion of words
We are still debating whether we have not entered a dictatorship, which makes the « leaders » and their journalists smile, because we are told that dictatorship is not that.
Now that they have monopolized reality, in order to test on a large scale the extent of possible modifications, it is clear that monopolizing the meaning of words is only the icing on the cake.
But yes, we are in a dictatorship, but where the opponents are mistaken is that this does not date from the pandemic. Tocqueville already saw very well, almost two centuries ago, that tyranny can be gentle, and democracy can be the most effective of illusions.
The dictatorship of the false without reply was definitively theorized in 1967 by Guy Debord, and since then it has only become stronger, so that in 1988, the same author noted that the spectacular mode had victoriously come to be integrated « into reality itself as it spoke of it; and that it reconstructed it as it spoke of it. »
Of the good use of the catastrophes
The novelty that appeared with the pandemic’s spectacle is that the « soft tyranny » has become durably hardened, as the reconstructed reality collapses under the onslaught of the disasters, which are very real, that affect the reality itself.
Obviously, the « leaders » expected it: « the domination is lucid at least in this that it expects from its own management, free and without hindrances, a rather great number of catastrophes of first magnitude for very soon » (Debord).
Melting ice floes, forests going up in smoke, collapsing economies, self-dissolving democracies, viruses discovering new identities, all of this was foreseeable, and therefore foreseen, and therefore somewhat anticipated by all the « leaders » in order to answer the only question that really arises for them: how will they keep control of the populations, when they lose control of the situation?
The stunned, hypnotized, atomized populations are just beginning to see the answers appear, which we will now synthesize.
Science is a one-way street
Since La Boétie and more recently since Milgram’s experiment, it appeared that it was necessary to specify the data of the voluntary submission to authority: the populations certainly submit because they believe stupidly to find their interest in the crumbs that they are given from the bread that was stolen from them, and also because they are inculcated very early on the dangers of disobedience; but if all this persists, it is above all because this authority has an unstoppable argument: science has said it!
It would therefore be « science » that would impose on the « leaders » the decisions to be taken, which, in view of the contradictions, the reversals and the lies that have been told since the beginning of the pandemic, should alert us to the very relative reliability of the said « science », but this is a detail.
The bottom line is that it is not science that tells politicians what to do, but the reverse.
Such research will be deprived of credit, or passed over in silence, or biased, or authoritatively discredited because it does not pay off, or because it emanates from independent researchers, and because it does not involve or does not sufficiently involve population control.
On the other hand, such catastrophic modeling, conducive to fears, will be rewarded, taken up again and again by politicians, broadcast day and night by sold-out journalists, such remedy will be praised and imposed as the only one, and made compulsory, on pain of locking up populations, or segregating recalcitrant people, or losing their income, and of being ridiculed in the public square, i.e. on television, or of repression, or of depression.
Immunizing against the truth
This remedy is obviously the vaccine for all, that is to say also for those who do not need it, that is to say the immense majority; a vaccine that will benefit from all the necessary credits, from all the « consensual » arrangements of the scientists who hold on to their credits, to their positions, to their reputations, to their interests, to their privileges; under the blessing of a World Health Organization heavily dependent on heavily self-interested financing, and therefore exclusively and fanatically pro-vaccine; it does not seem useful to mention names.
Once all the other alternatives have been discredited and deprived of financial, technical, media and informational means ; it is very easy to ask the journalists who have been sold to broadcast their master’s voice in every possible way, selecting and inflating the figures that confirm it as they have been taught to do, discarding and minimizing the others, when they have not been able to ignore them entirely, and attacking not so much the arguments as the people of the refractory – researchers, doctors, philosophers, populations – who refuse to be silenced, etc.
Through this vast device of political, media and social control, of which the sanitary aspect is only the opportunity that the thief was waiting for, the society of the spectacle prepares itself for its ultimate stage: since the collapse cannot be avoided, it is important to spectacularize the facts in order to make them hypnotic, to ensure the monopoly and the unilaterality of their techno-scientific treatment; to finally discriminate between those who will have the QR code to access the « multiverse » – the generalized pseudo-reality currently being elaborated – and those who will have to try to survive; under the ruins; and under the blows of the truncheon.
It seems to us to conclude that a modest detail has been neglected by the orchestrators of this future without a present: we leave it to the collective intelligence to find it.
PS. We have – voluntarily – not given the references and sources on which this demonstration is based; not that they are doubtful, on the contrary, they are implacable and themselves precisely documented. But, on the one hand, we do not want to burden the readers with the indispensable research work that will allow them to freely and autonomously tool their challenges to the despotism that is coming; on the other hand, we thus discourage the conditioned reflex of the argumentum ad personam.
Une réponse à “Pandémensonges.”
« L’histoire de la Covid suscite toutes les interrogations et les suspicions de fraudes, de prises illégales de pouvoir et d’enrichissements personnels exorbitants, dès lors que le Politique prend le pas sur les réalités.
Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. »
Docteur Dominique Schwander
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