Oui mais alors, ça sert à quoi ? – Nous ne nous en soucions pas outre mesure (outre notre mesure). C’est une sorte d’exercice spirituel au sens où en parle Pierre Hadot à propos de la philosophie antique.
Mais pas que bien sûr : c’est un travail de dépollution (un dépoussiérage) qui nous aide à mieux respirer (mentalement, émotionnellement et même aussi physiquement). C’est un repère utile pour quelques-un(e)s sans doute.
C’est la mauvaise herbe dans le béton.
C’est l’oiseau sentinelle.
C’est un simple apport à l’outillage critique de ce temps.
Avec quelle stratégie ? – Nous ne souhaitons pas en dire beaucoup concernant la stratégie.
Ce qui est sûr, c’est que nous resterons un bon moment encore confidentiels, comme l’insatisfaction radicale, et comme les véritables joies.
Nous ne sommes l’avant-garde que de nous-mêmes, dialectiquement : nous sommes notre propre émulation novatrice.
Quels sont vos projets ? – Nous ne souhaitons pas en dire beaucoup concernant nos projets.
Certains touchent à l’existence, au ras des paquerettes.
Nous procédons pas décalages, détournements, situations créées.
Nous avons aussi quelques projets éditoriaux en cours de gestation : l’un pour démoraliser la servitude volontaire, l’autre pour émerveiller les résistances.
L’Observatoire situationniste est un collectif de recherche et de réflexion né en France en 2021. Il est composé d’universitaires, de militants, d’artistes et de personnes issues de divers horizons.
Le collectif se donne pour objectif de réactualiser les outils critiques forgés par l’Internationale situationniste, notamment la notion de « société du spectacle ».
L’Observatoire situationniste publie une revue trimestrielle, intitulée « L’Observatoire situationniste », dans laquelle il explore les différentes facettes de la société du spectacle.
Le collectif organise également des événements publics, tels que des conférences, des projections et des débats.
Les membres de l’Observatoire situationniste considèrent que la société du spectacle est un système totalitaire qui aliène les individus et les empêche de vivre pleinement. Ils s’efforcent de développer des outils et des pratiques permettant de subvertir ce système et de créer un monde plus libre et plus égalitaire.
Voici quelques-unes des publications de l’Observatoire situationniste :
L’Observatoire situationniste, numéro 1 (2021)
L’Observatoire situationniste, numéro 2 (2022)
Généalogie du dieu argent (2023)
Le collectif est actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook, Twitter et Instagram.
Quelques-unes des idées clés de l’Observatoire situationniste
La société du spectacle est un système totalitaire qui aliène les individus et les empêche de vivre pleinement.
Le spectacle est une forme de domination qui réduit les individus à des spectateurs passifs.
L’aliénation est un processus par lequel les individus sont coupés de leur propre vie et de leur propre réalité.
La séparation est un processus par lequel les individus sont coupés les uns des autres et du monde qui les entoure.
La révolution est un processus de transformation radicale de la société.
Les critiques de l’Observatoire situationniste
L’Observatoire situationniste a été critiqué par certains pour son pessimisme et son nihilisme. D’autres ont critiqué le collectif pour son manque de pragmatisme et son incapacité à proposer des solutions concrètes aux problèmes de la société.
Conclusion
L’Observatoire situationniste est un collectif important qui contribue à la réflexion sur la société du spectacle. Le collectif propose une critique radicale de la société actuelle et propose des pistes de réflexion pour un monde plus libre et plus égalitaire.
Deuxième version (la moins confusionniste) :
L’Observatoire situationniste est un collectif d’artistes, de théoriciens et d’activistes créé en 2021. Il s’inspire des idées de l’Internationale situationniste (IS), un groupe d’artistes et d’intellectuels d’avant-garde actif dans les années 1950 et 1960.
L’Observatoire situationniste vise à réactualiser les outils critiques de l’IS, tels que la notion de « spectacle ».
Pour le collectif, le spectacle est une forme de domination sociale qui réduit les individus à des spectateurs passifs. Il vise également à expérimenter et à cartographier de nouvelles formes de critique sociale et d’émancipation.
Le collectif a publié deux numéros d’une revue intitulée « L’Observatoire situationniste ». La revue propose des textes théoriques, des analyses critiques et des contributions artistiques.
Les membres du collectif sont des personnes de différentes nationalités et de différentes disciplines. Ils sont actifs dans divers domaines, tels que l’art, la politique, l’éducation et la recherche.
Voici quelques-unes des principales idées de l’Observatoire situationniste :
Le spectacle est une forme de domination sociale qui réduit les individus à des spectateurs passifs.
L’aliénation est un processus par lequel les individus sont dépossédés de leur propre vie et de leur propre capacité d’action.
La séparation est un processus par lequel les individus sont divisés les uns des autres et de leur environnement.
L’Observatoire situationniste est un groupe actif et engagé. Il contribue à la réflexion critique sur la société contemporaine et à l’élaboration de nouvelles formes d’émancipation.
Voici quelques-unes des activités du collectif :
Publication d’une revue
Organisation de conférences et d’événements
Participation à des actions de protestation
L’Observatoire situationniste est un groupe important dans le paysage de la pensée critique contemporaine. Il contribue à la réactualisation des idées de l’IS et à l’élaboration de nouvelles formes de critique sociale et d’émancipation.
Troisième version (la plus délirante) :
L’Observatoire situationniste est un collectif de recherche et d’intervention politique créé en 2021. Il est composé d’un groupe de chercheurs et d’activistes issus de différents horizons, qui partagent un intérêt commun pour les théories et les pratiques situationnistes.
Le collectif vise à réactualiser l’héritage de l’Internationale situationniste (IS), un mouvement d’avant-garde fondé en 1957 par Guy Debord et d’autres intellectuels et artistes. L’IS a développé une critique radicale de la société capitaliste, qu’elle a qualifiée de « société du spectacle ».
L’Observatoire situationniste s’inspire des travaux de l’IS pour analyser les transformations de la société contemporaine. Il s’intéresse notamment à la montée des technologies numériques, qui contribuent à renforcer la domination du spectacle.
Le collectif mène des recherches théoriques et pratiques pour développer des alternatives à la société du spectacle. Il organise des événements, publie des articles et des ouvrages, et participe à des actions militantes.
Les objectifs de l’Observatoire situationniste
Les objectifs du collectif sont les suivants :
Réactualiser l’emploi précis et déterminé des outils critiques forgés par l’IS : spectacle, aliénation, séparation.
Expérimenter et cartographier le dépassement de toutes les postures et clôtures idéologiques qui ont limité, retardé voire empêché jusqu’ici l’épanouissement d’une critique radicalement émancipée.
Développer des alternatives à la société du spectacle, à travers des recherches théoriques, des pratiques artistiques et des actions militantes.
Les activités de l’Observatoire situationniste
Le collectif mène des activités dans les domaines suivants :
Recherche : le collectif organise des conférences, des ateliers et des séminaires pour approfondir les théories et les pratiques situationnistes. Il publie également des articles et des ouvrages sur ces sujets.
Pratique : le collectif organise des événements culturels et militants pour diffuser ses idées. Il participe également à des actions de désobéissance civile pour lutter contre les injustices sociales.
Formation : le collectif propose des formations sur les théories et les pratiques situationnistes.
Les publications de l’Observatoire situationniste
Le collectif publie une revue semestrielle, intitulée « L’Observatoire situationniste ». La revue propose des articles de recherche, des analyses politiques et des témoignages d’expériences artistiques et militantes.
Le collectif a également publié plusieurs ouvrages, dont :
« La société du spectacle aujourd’hui » (2022)
« L’aliénation dans la société du spectacle » (2023)
« La séparation dans la société du spectacle » (2023)
Les membres de l’Observatoire situationniste
Le collectif est composé d’un groupe de chercheurs et d’activistes issus de différents horizons, dont :
Nicolas Bourriaud, artiste et critique d’art
Yann Moulier Boutang, économiste
Erik Neveu, sociologue
Sylvère Lotringer, philosophe
Gérard Berréby, militant
Les liens avec l’Internationale situationniste
Le collectif L’Observatoire situationniste est en dialogue avec l’Internationale situationniste, mais il n’en est pas une continuation directe. Le collectif s’inspire des travaux de l’IS, mais il les réinterprète également à la lumière des transformations de la société contemporaine.
Le collectif a notamment été critiqué par certains membres de l’IS, qui considèrent qu’il ne respecte pas l’héritage du mouvement. Cependant, le collectif a également reçu le soutien d’autres membres de l’IS, qui considèrent qu’il contribue à faire vivre les idées situationnistes.
Note de l’Observatoire :
Nous précisons que les néo-informations produites par cette pseudo-I, (mais bien A) sont au moins biaisées/partielles/déformées, au plus totalement fausses. En particulier, aucun des noms figurant dans la troisème version (pas plus que d’autres noms circulant ici ou là) ne participe de notre aventure. Il est significatif de la dite « intelligence » de l’époque qu’une « information » erronée, une fois reprise, soit considérée comme sourcée, du seul fait d’avoir été reprise ; une sorte de confirmation par la boucle donc. En l’occurrence, que nous ayons publié ce tissu de faussetés automatisées a suffi à certains pour les tenir pour vraies, puisque nous les avions reprises, quand bien même nous les présentions comme délirantes. Ce qui apparaît est, du seul fait d’apparaitre.
L’Observatoire situationniste en quelques chiffres (arrondis).
Création publique : mai 2021.
Visiteurs sur le site : 10 000 dépassés début septembre.
Téléchargements de la revue bilingue : 4000.
Autres téléchargements : 2300.
La chaîne YouTube : 817 abonné(e)s, 49 000 vues.
Public creation: May 2021. Visitors to the site: 10,000 exceeded in early September. Downloads of the bilingual journal: 4000. Other downloads: 2300. The YouTube channel: 817 subscribers, 49,000 views.
– Pour des raisons de protection mais aussi d’anti-vedettariat, nous avons fait le choix de l’anonymat. Ce choix est évidemment discutable…
– Nous ne sommes pas nombreux, quoique disséminés sur plusieurs continents, avec une base stable de quelques individus ; en un an et demi, plusieurs contacts ont donné lieu à des rapprochements, avec ou sans suites, mais aussi à des éloignements – et aussi à quelques rares tentatives maladroites d’infiltration, facilement repérées.
– Il est bien clair qu’à mesure que nos thèses se diffusent, nous serons l’objet de toutes sortes de tentatives diffamatoires, caricaturales, malveillantes, délirantes : nous avons pris des mesures préventives, mais il faut sans cesse les ajuster. Ce qu’on peut dire à ce propos, c’est que le meilleur moyen de savoir ce qu’il en est, est de déjà lire les textes de l’O.S : pas juste le contenu, mais l’air qu’on y respire.
Some more indications:
For reasons of protection but also of anti-vedettariat, we made the choice of anonymity. This choice is obviously debatable…
We are not numerous, although scattered over several continents, with a stable base of a few individuals; in a year and a half, several contacts have given rise to rapprochements, with or without consequences, but also to distancing – and also to a few clumsy attempts at infiltration, easily spotted.
It is quite clear that as our theses spread, we will be the object of all sorts of defamatory, caricatured, malicious and delirious attempts: we have taken preventive measures, but they must be constantly adjusted. What can be said about this is that the best way to know what it is, is to read the texts of the O.S: not just the content, but the air that one breathes in..