Un jour viendra où le prolétariat se ressaisira comme tel, c’est-à-dire comme celles et ceux qui n’ont aucun pouvoir sur leur vie – et qui le savent.
L’abondance numérique échouera devant l’insupportable misère de l’existence qu’elle produit et qui est sa véritable production secrète.
Ce monde finira en nausée, et le faux sera vomi.
